Avec l'arrivée du bac (philo aujourd'hui, j'ai vu les sujets au journal de midi, et franchement ... franchement ...) on se souvient avec émotion sans aucun regret ses premiers examens.

 Mon premier concours par exemple. C'était le concours pour entrer dans une école de kiné à Rennes. 

Biologie. Je devais avoir 15 de moyenne pendant l'année. 3 le jour de l'examen. Voilà.
Mais le pire, je pense, c'est en physique et en chimie. Les deux matières dans lesquelles je suis "sensée" gérer. 0. Aussi. Aucun point. None. 

Déprime.

Plus lointain encore : mon brevet.
J'étais over-stressée. J'ai eu mention très bien [the finger in the nose]. Cela n'a pas empêché tous mes profs de nous dire "Le brevet c'est difficile, vous aller bossez, ça va vous changer de la quatrième bande de feignasse !".
Mais le (encore plus) pire, c'est que maintenant que je sais que c'est faux ... bah je dis [mais strictement] la même chose à mon frère. "L'être humain est un connard" dixit Hugo. (Non, pas Victor. Hugo. Hugo tout seul. #Payetesréférences)

Demain, ce sera histoire. J'ai cru comprendre que si la géo tombait en majeur (encore ? :o) il y aurait une vague de suicide en France. Je les comprends. Gratter 7 feuilles sur les États-Unis, au mieux ça vous dégoute à vie, au pire ... au pire vous aimez ça. [Sortez. Nan vraiment. Vous ne pouvez lire mon blog ET aimer les États-Unis : 5/20 au bac blanc, sur la superpuissance américaine.]

Bon. Sinon, je finirai par évoquer mon tout premier devoir commun. En seconde. Coincé entre deux terminale, le traumatisme a été grand. Ils bossaient sur la phylogénie en SVT. Ça doit être pour ça que mon rapport aux examens à toujours été ... différent.

I have a dream : a world without any exam, we woult be freeeeee :D Vote Gallia-Effect ♥